Un soir où elle dîne au restaurant, Théa croise par hasard Angelos Petrakos, dont le regard à la fois brûlant et méprisant la déstabilise aussitôt, tant il lui rappelle un passé qu'elle a tout fait pour laisser derrière elle. Et quand Angelos s'approche d'elle et exige qu'elle l'appelle dès le lendemain, elle sent cette fois la panique la gagner. Car cet homme redoutable, qui l'a toujours considérée comme une femme vénale et sans morale, a les moyens de faire voler en éclats, comme par le passé, la vie qu'elle s'est construite...
« 1ère découverte de la collection Azur ! Ma foi, c'est positif tout ça. Tous les ingrédients sont réunis pour une agréable lecture Harlequinesque ! A voir donc ce que me réserve cette dernière pour les prochaines aventures. »
Le secret d'une amoureuse est le second roman reçu dans le cadre du Cercle des Lectrices Harlequin. Ma première expérience au sein de la collection Horizon fut une totale réussite. En quelques mots, je me suis régalée quoi ! Après cette entière satisfaction, je n'avais qu'un seul besoin : un autre Harlequin. Je souhaitais rester dans cette bulle d'amour... Du coup, j'ai enchaîné avec ma nouvelle réception ! En deux trois mouvements, c'était réglé... Malheureusement, une grande tristesse m'a prise en otage puisque je n'avais plus de stock.
Julia James nous embarque dans la vie de Théa, une personne simple, fragile qui aimerait juste aimer, et être aimer. Lors d'un dîner en charmante compagnie, elle croise par hasard le regard d'un homme puissant Angelos Petrakos. Ce dernier s'approche de la table, aucun scrupule, exige qu'elle lui téléphone dès le lendemain. Cette rencontre furtive remonte des souvenirs peu agréables, notamment les fantômes du passé. Suite à ses anciennes blessures, Théa s'est reconstruite, elle n'a pas l'intention de se laisser mener par le bout du nez.
Dans l'ensemble, je retrouve les mêmes qualités que dans ma précédente lecture Harlequinesque, pas réellement de défauts à mon sens. Le secret d'une amoureuse se lit incroyablement vite. L'auteur nous épargne des détails inutiles en commençant par l'élément le plus important. En effet, la rencontre entre Théa ainsi qu'Angelos est la base de toute la romance. L'homme ne la lâchera pas avant d'arriver à ses fins. Ceci étant dû à un passé commun. Suite à cela, un flashback s'installe, nous permettant de répondre à d'éventuelles interrogations. Même si j'ai l'impression que cela perturbe légèrement ma lecture, il reste nécessaire pour comprendre pourquoi ils se détestent.
Zoom sur les personnages.
A la page 12, il y a un grand passage qui résume très bien la personnalité de Théa. Rien que ces mots : « Enfin ! Elle était à l'abri. Là où rien ni personne ne pourrait plus jamais l'atteindre. » - cela se voit qu'elle a souffert même si nous n'en connaissons pas les causes exactes. Bien entendu, je m'interroge, ce qui est logique dans le fond. Tout au long du récit, la jeune femme nous révèle ses doutes, ses peurs, ses craintes mais surtout ses espoirs, ses rêves pour un futur heureux. Le fait que je n'aurai pas aimé être à sa place, je ne peux pas m'identifier à Théa de ce point de vue. Par contre, elle possède une vraie force intérieure, une envie de se relever face à ses malheurs. A cela, j'y suis très sensible, ça aide à relativiser en quelque sorte. Devant ses problèmes, si elle s'en sort, je peux largement produire le même résultat. Quand j'ai refermé le bouquin, je me sentais prête à conquérir le monde...
Dès les premiers mots, Angelos Petrakos semble déstabilisant. C'est un homme puissant grâce à son statut social. Il sait ce qu'il veut, et ne veut pas. Cependant, il est si facile de le cerner : « Il sentit des regards, surtout féminins, peser sur lui. Une lueur s'alluma dans ses yeux couleur d'obsidienne. Ces femmes s'intéressaient-elles à sa personne ou à sa position sociale en tant que patron d'une multinationale florissante cotée en Bourse ? » Angelos aime être regardé, admiré, adulé aussi. Sous ses airs supérieurs, il aspire à une chose identique à Théa : Aimer, et être aimer également. Pas facile de l'avouer à autrui ou à soi-même.
Dans le passé, l'un et l'autre se sont blessés mutuellement... Comme il n'y avait pas de dialogue entre eux, aveuglés par leurs sentiments, la haine s'est invitée dans leurs existences. A contrario de Théa, Angelo est excessivement rancunier, ruminant sans cesse ce qu'il reproche à la demoiselle. Il a une tendance à rejeter les femmes vénales, à cause d'une blessure enfantine, il se méfie de la gente féminine... à un point que vous ne pouvez imaginer.
Personnellement, cette romance est touchante, tout comme les protagonistes. Ma foi, j'ai beaucoup apprécié la façon dont l'écrivain a mené les faits. Tout est en simplicité : histoire, récit, narration, conclusion ! C'est un Harlequin quoi ! Ceci n'est pas une insulte sortant de ma bouche... Vous le savez parfaitement, si vous traînez un peu sur ce blog. C'est là qu'on se rende compte que les non-dit peuvent conduire à des quiproquos, provoquer des vagues alors qu'une bonne discussion pourrait éviter un conflit.
Dans cette lecture, l'apparence joue un rôle, l'image qu'on renvoi aux autres... Beaucoup se contentent de rester en surface, ils jugent, critiquent sans apprendre à connaître RÉELLEMENT la personne. Et après, ils se posent en victime. Ceci me fait doucement rire ! Un simple Harlequin provoque des réflexions profondes notamment sur des récentes observations liées à la blogosphère. C'est dingue qu'une petite lecture arrive à un tel résultat ! Bref, comme il n'en ressortira rien de congrès, je préfère m'arrêter là concernant ce sujet épineux. Toujours est-il qu'il faut gratter la surface pour prétendre connaître un individu. Ne pas affirmer qu'on apprécie untel alors qu'on a aucun contact avec ce dernier... Pour moi, c'est de l'hypocrisie !
Globalement, Darkiss est ma collection favorite, car je possède une grande partie de leur catalogue. Je n'ai jamais réellement été déçue par les découvertes. Soit, j'aime beaucoup ou j'adore ! La différence est mince, sachez-le ! A ce jour, je compte une lecture pour Azur, une pour Horizon, et une pour Best Sellers. Afin d'optimiser mon expérience, je pense me tourner vers les autres sélections - suivant les propositions de mes partenaires livresques - afin de me forger une opinion sur chacune des catégories proposées.
Lu dans le cadre du Cercle des Lectrices Harlequin 2012.
En partenariat avec Babelio ainsi que les Éditions Harlequin.Julia James nous embarque dans la vie de Théa, une personne simple, fragile qui aimerait juste aimer, et être aimer. Lors d'un dîner en charmante compagnie, elle croise par hasard le regard d'un homme puissant Angelos Petrakos. Ce dernier s'approche de la table, aucun scrupule, exige qu'elle lui téléphone dès le lendemain. Cette rencontre furtive remonte des souvenirs peu agréables, notamment les fantômes du passé. Suite à ses anciennes blessures, Théa s'est reconstruite, elle n'a pas l'intention de se laisser mener par le bout du nez.
Dans l'ensemble, je retrouve les mêmes qualités que dans ma précédente lecture Harlequinesque, pas réellement de défauts à mon sens. Le secret d'une amoureuse se lit incroyablement vite. L'auteur nous épargne des détails inutiles en commençant par l'élément le plus important. En effet, la rencontre entre Théa ainsi qu'Angelos est la base de toute la romance. L'homme ne la lâchera pas avant d'arriver à ses fins. Ceci étant dû à un passé commun. Suite à cela, un flashback s'installe, nous permettant de répondre à d'éventuelles interrogations. Même si j'ai l'impression que cela perturbe légèrement ma lecture, il reste nécessaire pour comprendre pourquoi ils se détestent.
Zoom sur les personnages.
A la page 12, il y a un grand passage qui résume très bien la personnalité de Théa. Rien que ces mots : « Enfin ! Elle était à l'abri. Là où rien ni personne ne pourrait plus jamais l'atteindre. » - cela se voit qu'elle a souffert même si nous n'en connaissons pas les causes exactes. Bien entendu, je m'interroge, ce qui est logique dans le fond. Tout au long du récit, la jeune femme nous révèle ses doutes, ses peurs, ses craintes mais surtout ses espoirs, ses rêves pour un futur heureux. Le fait que je n'aurai pas aimé être à sa place, je ne peux pas m'identifier à Théa de ce point de vue. Par contre, elle possède une vraie force intérieure, une envie de se relever face à ses malheurs. A cela, j'y suis très sensible, ça aide à relativiser en quelque sorte. Devant ses problèmes, si elle s'en sort, je peux largement produire le même résultat. Quand j'ai refermé le bouquin, je me sentais prête à conquérir le monde...
Dès les premiers mots, Angelos Petrakos semble déstabilisant. C'est un homme puissant grâce à son statut social. Il sait ce qu'il veut, et ne veut pas. Cependant, il est si facile de le cerner : « Il sentit des regards, surtout féminins, peser sur lui. Une lueur s'alluma dans ses yeux couleur d'obsidienne. Ces femmes s'intéressaient-elles à sa personne ou à sa position sociale en tant que patron d'une multinationale florissante cotée en Bourse ? » Angelos aime être regardé, admiré, adulé aussi. Sous ses airs supérieurs, il aspire à une chose identique à Théa : Aimer, et être aimer également. Pas facile de l'avouer à autrui ou à soi-même.
Dans le passé, l'un et l'autre se sont blessés mutuellement... Comme il n'y avait pas de dialogue entre eux, aveuglés par leurs sentiments, la haine s'est invitée dans leurs existences. A contrario de Théa, Angelo est excessivement rancunier, ruminant sans cesse ce qu'il reproche à la demoiselle. Il a une tendance à rejeter les femmes vénales, à cause d'une blessure enfantine, il se méfie de la gente féminine... à un point que vous ne pouvez imaginer.
Personnellement, cette romance est touchante, tout comme les protagonistes. Ma foi, j'ai beaucoup apprécié la façon dont l'écrivain a mené les faits. Tout est en simplicité : histoire, récit, narration, conclusion ! C'est un Harlequin quoi ! Ceci n'est pas une insulte sortant de ma bouche... Vous le savez parfaitement, si vous traînez un peu sur ce blog. C'est là qu'on se rende compte que les non-dit peuvent conduire à des quiproquos, provoquer des vagues alors qu'une bonne discussion pourrait éviter un conflit.
Dans cette lecture, l'apparence joue un rôle, l'image qu'on renvoi aux autres... Beaucoup se contentent de rester en surface, ils jugent, critiquent sans apprendre à connaître RÉELLEMENT la personne. Et après, ils se posent en victime. Ceci me fait doucement rire ! Un simple Harlequin provoque des réflexions profondes notamment sur des récentes observations liées à la blogosphère. C'est dingue qu'une petite lecture arrive à un tel résultat ! Bref, comme il n'en ressortira rien de congrès, je préfère m'arrêter là concernant ce sujet épineux. Toujours est-il qu'il faut gratter la surface pour prétendre connaître un individu. Ne pas affirmer qu'on apprécie untel alors qu'on a aucun contact avec ce dernier... Pour moi, c'est de l'hypocrisie !
Globalement, Darkiss est ma collection favorite, car je possède une grande partie de leur catalogue. Je n'ai jamais réellement été déçue par les découvertes. Soit, j'aime beaucoup ou j'adore ! La différence est mince, sachez-le ! A ce jour, je compte une lecture pour Azur, une pour Horizon, et une pour Best Sellers. Afin d'optimiser mon expérience, je pense me tourner vers les autres sélections - suivant les propositions de mes partenaires livresques - afin de me forger une opinion sur chacune des catégories proposées.
Lu dans le cadre du Cercle des Lectrices Harlequin 2012.
Un grand merci à ces partenaires de lectures.
Hello Tiboux!
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne, je sais que j'ai lu des romans Azur, mais ce n'est pas ma collection préférée de la maison d'éditon ! Je te conseille plutôt les historiques, si tu as envies de changer, ils sont vraiment sympa !
Hello Evy ! :)
SupprimerSi je ne compte pas Darkiss, j'ai lu un roman dans les collections que j'ai eu l'occasion de lire. Je suis encore loin d'avoir tout tester. Cependant, il y a des collections qui m'attirent plus que d'autres. Donc, à voir lorsque je n'aurai plus d'achat prioritaires. ;)
Bonjour,
RépondreSupprimerUn grand merci pour cette chronique. J'adore quand un lecteur ou une lectrice arrive à me transmettre le plaisir qu'il ou elle a pris à lire un livre quel que soit le sujet. Là, c'est mission plus qu'accomplie donc merci et bravo, je ne manquerai pas de repasser sur ton blog.
Bonjour Manu,
SupprimerUn grand merci à toi d'avoir laissé une trace de ton passage. Cela me fait plaisir de te lire.
Face à tes compliments, je ne peux que te remercier sincèrement. J'espère te lire très bientôt. Au plaisir, ;)