« La liste des 11 dans ma vie est longue. Cette année, je suis en sixième 11 et j'ai onze ans. Et nous sommes en 2011. Alors, il va forcément se passer un truc. Je me demande bien quoi, parce que, globalement, je trouve que je n'ai pas beaucoup de bol. Enfin, ça dépend, c'est arrivé parfois que le 11 me porte chance. »
« Ce récit est à glisser entre toutes les mains. Adultes comme enfants. Après cette lecture, vous trouverez le besoin de vivre l'instant présent comme si c'était le dernier. Cela vous permettra - peut-être de vous remettre en question. Une lecture mignonne que je recommande chaudement. »
La maison Nathan est mon éditeur favori depuis un bon moment. Il est vrai que j'adorai les romans brochés. Aucun ne m'avait déçu... Puis, un jour, j'ai eu l'opportunité de découvrir le format poche. Ce fut une incroyable découverte. Azami, le coeur en deux a été une chouette expérience. J'ai été tellement séduite par ce format. Quant à l'histoire, elle m'avait tout simplement enchanté. A l'issu, j'ai agrandit ma PAL en achetant quelques titres au format poche pour les moments où je serai victime de panne livresque.
Enzo, 11 ans, Sixième 11 figurait sur ma liste d'envie depuis le moment où j'ai appris son existence. D'ailleurs, je l'avais présenté dans un billet : Parutions Mai & Juin des Éditions Nathan, souvenez-vous. Encore une fois, je ressors charmée d'une lecture issue du catalogue des éditions Nathan.
L'écriture de Joëlle Ecormier est accessible aux plus jeunes. Pour être davantage précise, j'ajouterai que ce récit conviendrait à des enfants dès 8 ans ou aux classes de CE2 grosso modo. Le récit est simple, le vocabulaire est adapté à la tranche d'âge ci-contre. De plus, les chapitres sont courts ; ce qui favorise un bon rythme à la lecture. Le ton du roman est à la fois joyeux mais à la fois triste par certains côtés. Cela correspond tout à fait au langage d'un jeune adolescent qui découvre un nouveau monde.
L'écriture de Joëlle Ecormier est accessible aux plus jeunes. Pour être davantage précise, j'ajouterai que ce récit conviendrait à des enfants dès 8 ans ou aux classes de CE2 grosso modo. Le récit est simple, le vocabulaire est adapté à la tranche d'âge ci-contre. De plus, les chapitres sont courts ; ce qui favorise un bon rythme à la lecture. Le ton du roman est à la fois joyeux mais à la fois triste par certains côtés. Cela correspond tout à fait au langage d'un jeune adolescent qui découvre un nouveau monde.
Au sujet de l'aspect positif de ce livre, il concerne toutes les petites anecdotes d'Enzo se centrant autour du nombre 11. Au travers d'un récit à la première personne, il narre tous les évènements survenus liés au fameux 11. Cela donne des situations cocasses qui font sourire ou rire selon les situations. Bien entendu, ce point est propre à chaque lecteur. Chacun réagira de façon différente.
En ce qui concerne, le côté triste du roman, il aborde un thème qui peut être douloureux selon les points de vues. Pour moi, je ne le ressens pas réellement de cette manière. J'y vois des messages implicites laissés par la romancière.
En effet, grâce au regard d'Enzo, le lecteur observe les conséquences de la jalousie ; le fait d'envier quelqu'un au point d'en avoir des préjugés. Bien entendu, les apparences sont bien trompeuses, n'est-ce-pas ? C'est un proverbe qui est particulièrement connu. La plupart du temps, il se révèle juste. Ce qui est justement le cas dans ce roman. Au cours de la lecture, j'ai remarqué qu'Enzo dissimulait une petite souffrance intérieure. Au début, il a l'impression d'avoir le poids du monde sur ses épaules. Très vite, je me suis rendue compte qu'il se débattait avec ses démons personnels.
Nous avons tous nos propres démons à combattre. Lorsqu'on a 11 ans, le plus petit détail donne l'impression d'être une catastrophe mondiale. En un sens, Enzo ne voit que ses soucis. Du coup, il ne fait plus attention au reste. C'est comme s'il en oubliait de vivre, oubliait de profiter de l'instant présent. Enzo reste un garçon attachant malgré son conflit interne. Grâce aux péripéties de cet adolescent, l'auteur en profite pour glisser quelques messages subliminales. J'avoue que j'y étais très sensible. Ceci m'a énormément parlé pour être honnête avec vous.
Sincèrement, je trouve que les mots d'Enzo - ou la plume de Joëlle Ecormier (si vous préférez) - possèdent un petit côté poétique qui m'a beaucoup touché. « Enzo, 11 ans, Sixième 11 » reste un beau récit au bout du compte. Il aborde de nombreux sujets en toute simplicité. Grâce à ce roman, des parents pourraient aborder aisément quelques thèmes avec leurs enfants. Cela pourrait amener des discussions en douceur; de quoi les préparer au monde de l'adolescence en toute quiétude.
Par ailleurs, l'évolution d'Enzo m'a beaucoup plu. En un sens, cela ajoute beaucoup de profondeur au personnage, profondeur à l'histoire également. Un petit ouvrage qui faut mettre dans toutes les mains petites ou grandes. Il n'a pas épais donc se lit rapidement. Il possède tous les atouts pour satisfaire un bon nombre de lecteurs qu'importe leurs âges au final. S'il m'a plu, il pourrait vous convenir également. En tout cas, je le pense.
En conclusion, j'ajouterai que j'adore l'illustration de la couverture. Elle colle impeccablement bien au fond de l'histoire. Encore une fois, c'est une réussite sur le fond et la forme. Oui - encore une fois - Nathan arrive à m'émerveiller avec de courtes aventures. Second essai qui se révèle tout autant magique que le premier, très concluant qui me poussera à renouveler l'expérience une nouvelle fois. Quelques titres au format poche m'attendent patiemment dans la PAL. Cela laisse présager d'agréables moments en perspectifs.
Après cette lecture, j'ai juste envie de vivre l'instant présent. Je ressens simplement le besoin de profiter des personnes qui me sont chères ou encore de profiter des choses qui me font du bien. Cette histoire est une agréable façon de se remettre en question. Un moyen de prendre conscience qu'il est préférable de dépenser son énergie pour des éléments positifs. Cela donne envie de laisser au placard tout ce qui est négatif. A cause des aléas de la vie, nous avons tendance à oublier les choses essentielles. On se focalise sur des détails inutiles, futiles mêmes. Grâce à Enzo, je me surprends à relativiser pour ainsi me recentrer sur des éléments nettement plus importants. Rien que pour ce point, je vous recommande cette lecture toute mignonne. Vous m'en direz des nouvelles par la suite. D'ailleurs, ma BAL électronique est toujours ouvertes pour les retours de chroniques. Sachez-le !
En ce qui concerne, le côté triste du roman, il aborde un thème qui peut être douloureux selon les points de vues. Pour moi, je ne le ressens pas réellement de cette manière. J'y vois des messages implicites laissés par la romancière.
En effet, grâce au regard d'Enzo, le lecteur observe les conséquences de la jalousie ; le fait d'envier quelqu'un au point d'en avoir des préjugés. Bien entendu, les apparences sont bien trompeuses, n'est-ce-pas ? C'est un proverbe qui est particulièrement connu. La plupart du temps, il se révèle juste. Ce qui est justement le cas dans ce roman. Au cours de la lecture, j'ai remarqué qu'Enzo dissimulait une petite souffrance intérieure. Au début, il a l'impression d'avoir le poids du monde sur ses épaules. Très vite, je me suis rendue compte qu'il se débattait avec ses démons personnels.
Nous avons tous nos propres démons à combattre. Lorsqu'on a 11 ans, le plus petit détail donne l'impression d'être une catastrophe mondiale. En un sens, Enzo ne voit que ses soucis. Du coup, il ne fait plus attention au reste. C'est comme s'il en oubliait de vivre, oubliait de profiter de l'instant présent. Enzo reste un garçon attachant malgré son conflit interne. Grâce aux péripéties de cet adolescent, l'auteur en profite pour glisser quelques messages subliminales. J'avoue que j'y étais très sensible. Ceci m'a énormément parlé pour être honnête avec vous.
Sincèrement, je trouve que les mots d'Enzo - ou la plume de Joëlle Ecormier (si vous préférez) - possèdent un petit côté poétique qui m'a beaucoup touché. « Enzo, 11 ans, Sixième 11 » reste un beau récit au bout du compte. Il aborde de nombreux sujets en toute simplicité. Grâce à ce roman, des parents pourraient aborder aisément quelques thèmes avec leurs enfants. Cela pourrait amener des discussions en douceur; de quoi les préparer au monde de l'adolescence en toute quiétude.
Par ailleurs, l'évolution d'Enzo m'a beaucoup plu. En un sens, cela ajoute beaucoup de profondeur au personnage, profondeur à l'histoire également. Un petit ouvrage qui faut mettre dans toutes les mains petites ou grandes. Il n'a pas épais donc se lit rapidement. Il possède tous les atouts pour satisfaire un bon nombre de lecteurs qu'importe leurs âges au final. S'il m'a plu, il pourrait vous convenir également. En tout cas, je le pense.
En conclusion, j'ajouterai que j'adore l'illustration de la couverture. Elle colle impeccablement bien au fond de l'histoire. Encore une fois, c'est une réussite sur le fond et la forme. Oui - encore une fois - Nathan arrive à m'émerveiller avec de courtes aventures. Second essai qui se révèle tout autant magique que le premier, très concluant qui me poussera à renouveler l'expérience une nouvelle fois. Quelques titres au format poche m'attendent patiemment dans la PAL. Cela laisse présager d'agréables moments en perspectifs.
Après cette lecture, j'ai juste envie de vivre l'instant présent. Je ressens simplement le besoin de profiter des personnes qui me sont chères ou encore de profiter des choses qui me font du bien. Cette histoire est une agréable façon de se remettre en question. Un moyen de prendre conscience qu'il est préférable de dépenser son énergie pour des éléments positifs. Cela donne envie de laisser au placard tout ce qui est négatif. A cause des aléas de la vie, nous avons tendance à oublier les choses essentielles. On se focalise sur des détails inutiles, futiles mêmes. Grâce à Enzo, je me surprends à relativiser pour ainsi me recentrer sur des éléments nettement plus importants. Rien que pour ce point, je vous recommande cette lecture toute mignonne. Vous m'en direz des nouvelles par la suite. D'ailleurs, ma BAL électronique est toujours ouvertes pour les retours de chroniques. Sachez-le !
« Je parie que c'est comme ça que le soleil est né il y a des milliards d'années. » (p109)
- Joëlle Ecormier : Site.
Ca ma l'air d'être une bonne lecture, avec des points intéressants. Rien que le résumé m'interpelle, avec cette histoire autour du chiffre 11... merci pour la découverte car je ne connaissais pas :)
RépondreSupprimerTout le plaisir est pour moi, tu t'en doutes. Il ne faut pas croire mais les livres pour "enfants" apportent beaucoup de choses. Plus, j'en lis, et plus j'aime ça. ;)
SupprimerThis is gorgeous!
RépondreSupprimerThank you so much. ;)
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