Mercredi 9 mars 2016, je suis arrivée au centre de soin de Perharidy - pour une durée de trois semaines - à savoir jusqu'au mercredi 30 mars prochain. A l'heure actuelle, cette première semaine s'achève... Moralement, je suis éprouvée d'où l'envie de rédiger un billet d'humeur sur ces quelques jours écoulés.
Si vous me suivez de manière régulière, vous savez que je suis en couple depuis de nombreuses années. Si ce n'était pas le cas, vous êtes au courant que je ne suis pas un coeur libre. En septembre prochain, nous fêterons nos 10 ans. Avec le temps, notre relation est devenue de plus en plus fusionnel.
Normalement, j'aurai du entrer dans ce centre pendant les fêtes de fin d'année 2015. Mais c'était inconcevable qu'on se sépare durant cette période. Aussi, j'ai reporté cette hospitalisation au printemps 2016. Au final, qu'importe la période, la séparation est douloureuse. Cette situation a beau possédé un caractère provisoire ; cela n'enlève rien au manque, au chagrin, à la tristesse. Notre première nuit - loin l'un de l'autre - fut un cauchemar des deux côtés. En ce qui le concerne, il n'a pas réussi à trouver le sommeil et à signé une nuit blanche. Pour ma part, j'ai passé une nuit horrible ce qui a eu pour conséquence - le lendemain - une tension artérielle de 17.
Un matin, je me suis levée... et j'ai fondu en larmes. Mon homme me manquait, mon appartement me manquait, ma petite routine instaurée à ses côtés me manquait cruellement. Il m'a fallut un moment pour me calmer. Mon petit pirate m'a réconforté en me disant que j'étais dans ce centre pour ma santé, pour mon bien-être, que je devais être forte. Après tout, personne ne m'a mis un couteau sous la gorge pour me conduire à Roscoff. Quand bien même, j'ai choisi de me rendre dans cet hôpital, cela n'enlève en rien la difficulté d'y être au quotidien ; isolée de ses habitudes, des gens qu'on aime.
Durant ces 5 jours passés, le plus difficile - mise à part être loin de mon homme - est la solitude ainsi que l'inactivité. Dans ma situation, l'un ne va pas sans l'autre. Dernièrement, j'ai posté sur mes réseaux sociaux, mon emploi du temps hebdomadaire. Lorsque j'avais un rendez-vous ou un atelier programmé ; l'activité occupait mon esprit. A contrario, les créneaux libres me ramenaient à la réalité de ma condition d'où le fait que les larmes ont coulées.
Aujourd'hui, Lia - ma soeur - m'a laissé un petit mot pour me dire que son petit - Boubou - me réclamait tous les jours depuis mon départ. Ce message a eu le loisir de me réconforter. Le fait de savoir que je suis aimée, que je manque à des personnes, a diffusé une douce chaleur dans mon coeur.
Cet après-midi, j'ai visionné des vidéos. Je me suis rendue compte que je ne pouvais plus regarder certaines vidéastes. Overdose, pour être honnête. Du coup, j'ai passé un peu de temps à regarder celles ne durant pas trop longtemps pour désengorger ma playlist à regarder. Puis, je suis tombée sur les vlogs CeriseLife de la belle Cerise Daily. 🍒
Si vous me suivez de manière régulière, vous savez que je suis en couple depuis de nombreuses années. Si ce n'était pas le cas, vous êtes au courant que je ne suis pas un coeur libre. En septembre prochain, nous fêterons nos 10 ans. Avec le temps, notre relation est devenue de plus en plus fusionnel.
Normalement, j'aurai du entrer dans ce centre pendant les fêtes de fin d'année 2015. Mais c'était inconcevable qu'on se sépare durant cette période. Aussi, j'ai reporté cette hospitalisation au printemps 2016. Au final, qu'importe la période, la séparation est douloureuse. Cette situation a beau possédé un caractère provisoire ; cela n'enlève rien au manque, au chagrin, à la tristesse. Notre première nuit - loin l'un de l'autre - fut un cauchemar des deux côtés. En ce qui le concerne, il n'a pas réussi à trouver le sommeil et à signé une nuit blanche. Pour ma part, j'ai passé une nuit horrible ce qui a eu pour conséquence - le lendemain - une tension artérielle de 17.
Un matin, je me suis levée... et j'ai fondu en larmes. Mon homme me manquait, mon appartement me manquait, ma petite routine instaurée à ses côtés me manquait cruellement. Il m'a fallut un moment pour me calmer. Mon petit pirate m'a réconforté en me disant que j'étais dans ce centre pour ma santé, pour mon bien-être, que je devais être forte. Après tout, personne ne m'a mis un couteau sous la gorge pour me conduire à Roscoff. Quand bien même, j'ai choisi de me rendre dans cet hôpital, cela n'enlève en rien la difficulté d'y être au quotidien ; isolée de ses habitudes, des gens qu'on aime.
Durant ces 5 jours passés, le plus difficile - mise à part être loin de mon homme - est la solitude ainsi que l'inactivité. Dans ma situation, l'un ne va pas sans l'autre. Dernièrement, j'ai posté sur mes réseaux sociaux, mon emploi du temps hebdomadaire. Lorsque j'avais un rendez-vous ou un atelier programmé ; l'activité occupait mon esprit. A contrario, les créneaux libres me ramenaient à la réalité de ma condition d'où le fait que les larmes ont coulées.
Aujourd'hui, Lia - ma soeur - m'a laissé un petit mot pour me dire que son petit - Boubou - me réclamait tous les jours depuis mon départ. Ce message a eu le loisir de me réconforter. Le fait de savoir que je suis aimée, que je manque à des personnes, a diffusé une douce chaleur dans mon coeur.
Cet après-midi, j'ai visionné des vidéos. Je me suis rendue compte que je ne pouvais plus regarder certaines vidéastes. Overdose, pour être honnête. Du coup, j'ai passé un peu de temps à regarder celles ne durant pas trop longtemps pour désengorger ma playlist à regarder. Puis, je suis tombée sur les vlogs CeriseLife de la belle Cerise Daily. 🍒
Ci-dessus, deux vidéos visionnées que j'ai adoré. Elles m'ont permise d'oublier momentanément mon isolement. Cerise est une jeune femme que j'apprécie énormément. Elle est pétillante. De plus, elle n'essaie pas d'en faire des tonnes pour épater la galerie. Elle est entière. En la regardant, j'avais le sourire jusqu'aux oreilles. Sa joie de vivre a eu de belles vertus sur mon état d'esprit. En premier lieu, elle est communicative. Aussi, je me suis sentie mieux. Ensuite, vu que 2016 est une année de changement, j'ai eu une folle envie de profiter de ma vie à fond. Du coup, mon esprit a divagué vers de futurs projets... A présent, ils sont notés dans mon agenda.
Malgré tous les manques, j'achève cette première semaine avec le désir de croquer la vie ; surtout que ma renaissance approche à grands pas. Si mon moral venait encore à flancher, je repenserai à ces futurs projets... En plus, dans 6 jours, mon doudou viendra passer la journée à mes côtés. Je compte ces jours qui me séparent de lui, tant j'ai hâte d'être à dimanche prochain pour me fondre dans le creux de ses bras. En attendant, il est l'heure pour moi de publier ces quelques mots, d'aller me coucher car demain, une nouvelle semaine commencera à Perharidy...
Je te souhaite plein de courage et comme je peux comprendre à quel point ça doit être difficile d'être loin de ton chéri. Ça fait dix ans pour nous aussi et je pleure à chaque fois qu'il part en déplacement, il a même dormi dans un vieux inconfortable pour rester avec moi les jours qui ont suivi mon accouchement.
RépondreSupprimerJe te souhaite plein de belles choses (^-^) courage, c'est une bonne décision que tu as prise
Cela me fait énormément plaisir de lire ton message. J'avais l'impression de faire la gamine ou la capricieuse tellement je vivais très mal la séparation. Mais grâce à toi, je suis rassurée. Je me sens - du coup - moins seule. Merci à toi. <3
SupprimerIl m'a fallut au moins 5 jours pour m'adapter au centre. Mais j'y peux rien du tout. L'essentiel est que je me sens un peu mieux même si j'ai toujours hâte de retrouver mon homme, notre petit nid ainsi que nos routines adorées.
Je te remercie pour ton petit mot d'encouragement. Je te fais de gros bisous. XOxo
Une séparation difficile mais qui pour ton bien, et de ce fait, votre bien à tous les deux. C'est toujours difficile de se séparer de sa moitié et avec le temps cela ne s'arrange pas je peux te le dire. J'espère que mes petits mots ici et là te font "décrocher" quelques minutes et ne te saoule pas, sinon ils n'auraient pas l'effet escompté^^. Des bisous ma Tiboux !
RépondreSupprimerOh non le temps n'arrangera rien. Et puis, je sais que c'est difficile pour lui aussi même si lui est chez nous. Il n'a plus ses repères. Tu sais, les petits repères, les petites routines qui se mettent en place dans un couple. Quand bien même, j'ai essayé d'organiser au mieux mon départ... cela reste perturbant autant pour l'un que l'autre.
SupprimerDans deux semaines, cette première hospitalisation se terminera. Je suis ici pour mon bien-être, pour être en meilleure santé. Donc, j'essaie de profiter de cette chance d'être dans cet endroit du mieux que je peux.
Ma douce, tes petits mots me réconfortent, me donnent du courage parce que je me sens soutenue dans mon combat. Et, ça fait chaud au moral. N'en doute pas une seule seconde, ok ?! <3
Je t'envoie des bisous ensoleillés.
XOxo
Je t'envoie beaucoup de courage et des bisous. Pas facile d'être éloigné de ceux qu'on aime, surtout dans ces conditions.
RépondreSupprimerJe te remercie pour tes commentaires. ^^
SupprimerActuellement, je ne suis plus à l'hôpital. J'y suis sortie depuis plus d'une semaine. A présent, je suis en convalescence chez moi. =)